Les villages de la Noisette

La Noisette en question est la rivière qui naît à Saint-Pardoux et qui se jette dans la Méouse près du Montfrialoux. Les villages qui vont suivre se situent dans son bassin, c’est à dire la zone dont les eaux de ruissellement convergent vers elle.

Saint-Pardoux

Saint-Pardoux, dit autrefois “le Pauvre” pour le différencier des autres Saint-Pardoux qui s’étaient donné le nom du saint creusois (à l’origine de la ville de Guéret), fut une paroisse, puis une commune jusqu’en 1836. Cette année-là, comme nombre d’autres petites communes, elle fut rattachée à une voisine plus populeuse, en l’occurrence, Sannat. Depuis ce temps-là, Saint-Pardoux est resté le villlage le plus important de notre commune, dans l’esprit des Sannatois, quelque chose d’intermédiaire entre le Bourg et les autres villages, comme un bourg secondaire. Françoise Faure-Malanède nous raconte le Saint-Pardoux de son enfance.

Samondeix – Le Puylatat

La Noisette, après avoir traversé la route de Reterre au niveau des “Boucheroux”, puis celle d’Evaux aux “Couteaux”, arrive en dessous de Samondeix, et un peu plus loin du Puylatat, où, pour ce dernier village, les eaux se partagent en fait entre la Noisette et la Méouse.

Le Poux – La Chaize – Le Clos

Ces trois villages, presque jumeaux, se situent au centre d’une alvéole creusée dans le “dyke de Sannat” par la “Loisille”, un affluent de rive droite de la Noisette. Ce qui vaut à ce lieu une humidité , à l’origine des nombreuses sources qui ont conféré son nom à un des villages, et qui ont fixé les hommes. Notre troubadour occitan local Denis dresse avec beaucoup d’humour et d’amour le portrait de son “païs”.